Une délégation des forces coalisées « darfouriennes », alliées de l’armée soudanaise, s’est rendue au fief de Moussa Hilal, à Mastoura, dans le Darfour. L’objectif affiché de cette rencontre : explorer les voies d’une cessation des hostilités au Soudan.
Depuis l’éclatement du conflit opposant le général Hemetti aux forces armées soudanaises, Moussa Hilal s’est replié dans son bastion, accusant son rival d’avoir entraîné le pays dans une guerre meurtrière qui déstabilise à la fois le Darfour et la communauté arabe. Selon plusieurs sources, il aurait prêté allégeance à l’armée soudanaise, devenant ainsi, aux yeux d’une large partie de la communauté arabe, le dernier recours susceptible d’éviter une défaite militaire et les répressions qui pourraient en découler.
La perte de plusieurs villes par les Forces de Soutien Rapide (FSR) au profit de l’armée et de ses alliés a renforcé l’influence de Hilal. De nombreux commandants prêtent désormais une oreille attentive à la stratégie de ce leader charismatique, considéré comme une figure incontournable dans le camp arabe.
Cependant, malgré l’intensité des combats et les violations massives des droits humains imputées aux deux camps, les perspectives d’un règlement pacifique demeurent sombres. L’armée soudanaise refuse toute négociation avec les FSR tant que celles-ci n’auront pas déposé les armes — une exigence jugée inacceptable par la milice, qui continue de bénéficier d’un soutien extérieur conséquent en armes et en munitions.
Lire le retour de Moussa Hilal https://urls.fr/rLONXc
Depuis l’éclatement du conflit opposant le général Hemetti aux forces armées soudanaises, Moussa Hilal s’est replié dans son bastion, accusant son rival d’avoir entraîné le pays dans une guerre meurtrière qui déstabilise à la fois le Darfour et la communauté arabe. Selon plusieurs sources, il aurait prêté allégeance à l’armée soudanaise, devenant ainsi, aux yeux d’une large partie de la communauté arabe, le dernier recours susceptible d’éviter une défaite militaire et les répressions qui pourraient en découler.
La perte de plusieurs villes par les Forces de Soutien Rapide (FSR) au profit de l’armée et de ses alliés a renforcé l’influence de Hilal. De nombreux commandants prêtent désormais une oreille attentive à la stratégie de ce leader charismatique, considéré comme une figure incontournable dans le camp arabe.
Cependant, malgré l’intensité des combats et les violations massives des droits humains imputées aux deux camps, les perspectives d’un règlement pacifique demeurent sombres. L’armée soudanaise refuse toute négociation avec les FSR tant que celles-ci n’auront pas déposé les armes — une exigence jugée inacceptable par la milice, qui continue de bénéficier d’un soutien extérieur conséquent en armes et en munitions.
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