Connectez-vous S'inscrire
Menu

La deuxième phase de l’étude sur le nexus climat-sécurité-environnement en Afrique centrale est lancée

Lundi 15 Avril 2024

La deuxième phase de l’Etude sur le nexus climat-sécurité-environnement en Afrique centrale, notamment au Cameroun, en RCA et au Tchad a été officiellement lancée ce lundi, 15 avril 2024, à N’Djaména au Tchad, en mode virtuel, en présence des membres du consortium et des Experts des trois pays.


La deuxième phase de l’étude sur le nexus climat-sécurité-environnement en Afrique centrale est lancée
Placée sous l’égide du CEDPE avec le financement de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) avec une durée de six mois, cette deuxième phase de l’étude a pour objectif principal d’approfondir le rapport provisoire d’étude sur le nexus climat-sécurité-environnement dans la zone de l’étude pendant la première phase de l’étude qui a eu lieu dans la période de septembre-octobre-novembre 2023. Il s’agira de prendre en compte les conclusions et recommandations issues de la réunion CEDPE-Comité de suivi de l’OIF, tenue le 30 octobre 2023 et de la journée d’échange et de réflexion organisée le 16 novembre à N’Djamena.
Le Président du Centre d’Etudes pour le Développement et la Prévention de l’Extrémisme (CEDPE),  Dr Ahmat Yacoub  DABIO s’est réjoui de cette occasion et a exhorté tous les participants à donner le meilleur d’eux pour que cette deuxième phase soit une réussite. Il a souligné surtout la nécessité que tous les membres du Consortium travaillent les mains dans la main pour la réussite de cette étude qui augure une très bonne suite pour le partenariat avec l’OIF et la collaboration entre chercheurs d’Afrique centrale.
La deuxième phase de l’’étude prend véritablement en compte, la dimension régionale car, elle a associé les experts dans les pays couverts par l’étude, ainsi la constitution des équipes d’enquêteurs sur les terrains. Des enquêteurs qui seront formés à la collecte des données sur le terrain au Cameroun, en RCA et au Tchad, sous la supervision d’un expert local, dans chacun de trois (3) pays.
Les échanges et discussions consécutives aux interventions des participants ont mis l’accent sur les points suivants ; la question de la méthodologie de l’étude, les zones d’intervention de l’étude dans les trois pays, les axes d’intervention de l’étude, le résultat de la première phase de l’étude, l’actualisation du questionnaire de l’étude entre autres. Rendez-vous est pris pour le jeudi, histoire de compiler les observations des uns et des autres sur le questionnaire de l’enquête. Vivement !
Alain Djimassal
Chargé de la communication