Des sources diplomatiques informées ont révélé à Wadi al-Nil qu’une réunion secrète a eu lieu ce lundi soir, dans la capitale égyptienne, le Caire, réunissant le président soudanais du Conseil de souveraineté, le général Abdel Fattah al-Burhan, et le commandant de l’armée nationale libyenne, le Maréchal Khalifa Haftar, en présence du président égyptien Abdel Fattah al-Sisi.
Al-Sisi a reçu Al-Burhan aujourd’hui au palais d’El Alamein après son arrivée au Caire depuis l’Espagne.
Selon les sources, la réunion s’est penchée sur la situation sécuritaire au Soudan et en Libye, ainsi que les moyens de coordonner les efforts pour faire face aux menaces régionales, notamment en ce qui concerne l'insécurité transfrontalière, et les effets de la crise soudanaise dans les pays voisins. La réunion aurait également abordé la question du soutien logistique et militaire, sécurisant les frontières communes, en plus des intersections de l’influence régionale et internationale dans la région, en particulier avec les activités militaires croissantes des « Forces de Soutien rapide » dans l’ouest du Soudan et les zones frontalières près de la Libye.
La réunion intervient à la lumière des intenses mouvements égyptiens visant à rétablir l’équilibre régional et à limiter les répercussions du conflit soudanais, qui est entré dans sa troisième année, alors que l’on craint qu’il ne se transforme en un conflit chronique qui aggravera le chaos dans la région.
Il convient de noter que jusqu’au moment où la nouvelle a été préparée, aucune déclaration officielle n’avait été publiée par les parties participant à la réunion, tandis que la présidence égyptienne est restée silencieuse quant aux informations divulguées sur la réunion privée.
# sources
Al-Sisi a reçu Al-Burhan aujourd’hui au palais d’El Alamein après son arrivée au Caire depuis l’Espagne.
Selon les sources, la réunion s’est penchée sur la situation sécuritaire au Soudan et en Libye, ainsi que les moyens de coordonner les efforts pour faire face aux menaces régionales, notamment en ce qui concerne l'insécurité transfrontalière, et les effets de la crise soudanaise dans les pays voisins. La réunion aurait également abordé la question du soutien logistique et militaire, sécurisant les frontières communes, en plus des intersections de l’influence régionale et internationale dans la région, en particulier avec les activités militaires croissantes des « Forces de Soutien rapide » dans l’ouest du Soudan et les zones frontalières près de la Libye.
La réunion intervient à la lumière des intenses mouvements égyptiens visant à rétablir l’équilibre régional et à limiter les répercussions du conflit soudanais, qui est entré dans sa troisième année, alors que l’on craint qu’il ne se transforme en un conflit chronique qui aggravera le chaos dans la région.
Il convient de noter que jusqu’au moment où la nouvelle a été préparée, aucune déclaration officielle n’avait été publiée par les parties participant à la réunion, tandis que la présidence égyptienne est restée silencieuse quant aux informations divulguées sur la réunion privée.
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